Investir dans l’immobilier, pourquoi s’émanciper de la capitale française ?

Peu importe le contexte, et malgré la petite baisse de tension du marché à cause du coronavirus, l’immobilier, reste un investissement refuge. Il fait d’ailleurs partie des tendances qui ont repris rapidement après le déconfinement. Mais on constate tout de même un léger changement : les investisseurs ne semblent plus s’intéresser aux biens parisiens.

Un marché trop tendu pour être attractif

Depuis toujours, la bulle immobilière parisienne est connue pour sa tension excessive. Désormais, le m2 se négocie à partir de 8 000 euros et peut même toucher les 10 000 euros dans certains quartiers.  Ce qui n’est pas très intéressant. Et pour cause, même en vous endettant plus que de raison, vous ne pouvez pas réellement profiter d’un bon bien et d’une bonne superficie habitable dans la capitale. Autrement dit, le marché parisien est beaucoup trop tendu pour être rentable.

Investir à l’étranger : la nouvelle lubie des investisseurs professionnels

Et les investisseurs professionnels se sont donc, au cours des dernières années, intéressés aux marchés étrangers. Sur ce site par exemple, vous pouvez acheter des maisons aux États-Unis simplement et en profitant d’un accompagnement sur mesure. C’est original. Le marché est complètement différent. De quoi apporter LA diversification tant souhaitée dans vos placements. Sans compter que les biens américains brillent par leur modernité et leur confort.

Investir en France, mais en dehors des grandes métropoles : tout aussi intéressant

Bien évidemment, rien ne vous oblige à partir à l’étranger pour accéder à la propriété. En France, notamment dans les régions en dehors des grandes métropoles comme Paris, Bordeaux, Lyon, etc., le marché peut encore être intéressant. Le prix du m2 fluctue entre 2 000 et 5 000 euros en moyenne. Tout dépend aussi de si vous souhaitez avoir un appartement ou une maison. C’est vrai que vous cantonnez à un marché que vous connaissez déjà peut-être plus rassurant, tant pour vous que pour les banques.